L e Docteur Boni Yayi a déjÃ
décroché 12 milliards
de dollars à la BID pour
accompagner le secteur éducatif
béninois. Cet apport substantiel
de la Banque Islamique pour
le Développement permettra
notamment, le financement
de la construction de salles de
classe dans les départements
de l’Alibori, du Borgou, de
l’Atacora, de la Donga, des
Collines, et du Zou. Aussi, ce
financement permettra–t-il une
amélioration des conditions
de vie des enseignants. Cette
bonne nouvelle a été annoncée,
lundi dernier, Ã la rencontre
initiée par le Chef de l’Etat
avec les potentiels partenaires
à la table ronde qu’organise
le Bénin à Paris. Au regard de
l’engagement personnel de Boni
Yayi dans ce projet de table
ronde, la Banque Africaine de
Développement a, en ce qui la
concerne, annoncé qu’elle a
déjà inscrit à son portefeuille,
certains projets porteurs du
Bénin. On peut noter les projets
de développement touristique
de la Route des pêches, les projets
agricole et routier. En raison de
la rencontre avec les responsables
de la BAD, notamment avec son
président, Donald KaberuKa,
on est en droit d’affirmer que
les deux institutions financières
accompagnent le Bénin dans sa
quête de mobilisation de 2900
milliards de FCFA pendant la
table ronde de Paris.
Signalons qu’en ce qui concerne la
BAD, c’est environ 550 milliards
de nos francs qui ont été mobilisés
pour le Bénin depuis 1972, soit
environ 1,140 milliards de dollars
US. Cette Banque accompagne
le Bénin dans divers projets,
notamment dans les domaines
du transport, l’agriculture,
le social, l’électricité, l’eau,
l’assainissement, les finances,
l’industrie et biens d’autres
projets multisectoriels.
Outre ces deux banques sous-
régionales, la table ronde de
Paris bénéficie des soutiens de la
Banque Mondiale et du Pnud. Ces
deux structures promettent leur
accompagnement aux 130 projets
qui focaliseront les attentions au
cours des assises de Paris, pour
un besoin estimé à 6529 milliards
dont 2900 milliards attendus.
Il conviendrait que les opérateurs
économiques, le Patronat
béninois et autres grandes
fortunes béninoises jouent leur
partition, pour faire de cette table
ronde de Paris une réussite totale. | À lire aussi ... Politique sociale en République du Bénin
Boni Yayi porte l’enfant et la femme dans son coeur Gratuité de la scolarité des filles, des soins de
santé, de la césarienne, les micro finances au
profit de la gent féminine en situation précaire…
Si la femme reste le sel de tout développement,
l’enfant en constitue le socle. Il n’y a en effet de
développement que d’homme. Le Dr Boni Yayi,
depuis huit ans de gestion à la tête de notre pays,
a épousé cette assertion et place l’enfant et la
femme au coeur de sa politique sociale.
La beauté exceptionnelle
de la femme béninoise
que le Président Boni
Yayi n’a de cesse de vanter,
a le sens d’un message dont
la profondeur ne saurait se
limiter à une simple opération
de charme. Pour le Chef de
l’Etat, la beauté de la femme
béninoise réside dans sa
disponibilité légendaire, son
efficacité au poste et en ménage,
son dévouement et son mérite
de confiance. La prudence
qui la caractérise n’émousse
nullement son audace, sa
perspicacité et son courage. Boni Yayi perçoit en réalité la
femme aux mille bras comme :
Reine de la terre.
Cet amour que le Président
Boni Yayi voue à la femme
béninoise est aussi profond
qu’il le concrétise à travers
divers programmes pour juguler
dans la mesure du possible ses
affres et souffrances. Ainsi,
son gouvernement a initié une
série de mesures au profit de
la fille, la femme et de l’enfant
béninois. Il faudra retenir entre
autres mesures la gratuité
de la césarienne. En effet, il
est inconcevable de perdre sa vie en voulant procréer.
C’est un drame. C’est donc
pour combattre cette fatalité
que le gouvernement de Boni
Yayi a décidé de la mesure de
la gratuité de la césarienne.
L’enfant qui vient de naître a
également besoin d’une vie
florissante et d’être en bonne
santé.
Hélas ! Sur le chemin de sa
croissance, l’enfant aura Ã
affronter la redoutable malaria,
l’impardonnable poliomyélite
e t d ’ a u t r e s p a t h o l o g i e s
impitoyables. C’est donc
conscient de ce combat de
l’enfant pour la vie que le père de
la Nation et son gouvernement
ont décidé de l’accompagner
pour affronter ces maladies Ã
travers la gratuité des soins de
santé.
Lorsque l’enfant est en
bonne santé, il a besoin d’une
éducation ; il s’agit là d’un droit
universel. Boni Yayi en fait une
priorité de son gouvernement et
adopte la mesure de la gratuité
de la scolarité des filles. La
construction de plusieurs
écoles et les subventions
accompagnent ce programme
pour le bonheur des enfants
filles du Bénin. Et pendant ce
temps, les femmes, les mères,
socle de la famille, ne sont pas
oubliées. Elles bénéficient d’un
accompagnement dans leurs
activités génératrices de revenus,
à travers des programmes de
micro finance.
De multiples témoignages
soutiennent ces programmes de
micro finance qui constituent un
volet important de la politique
sociale qui pousse le Bénin
sur le chemin de l’atteinte des
objectifs du millénaire pour le
développement.
Entre Boni Yayi et la femme
béninoise, l’histoire est plus que
celle du ‘’je t’aime, moi non plus’’
c’est une question de vision, une
histoire de prospérité partagée,
le fondement du Changement et
de la Refondation pour un Bénin
émergent.
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