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Bataille entre l’armée d’Absalom et celle de David. Absalom tué par Joab dans la forêt d’Ephraïm : SAMUEL Chapitre 18 Verset 1 à12

lundi 1er mars 2010, par Dignité Féminine

David passa en revue le peuple qui était avec lui, et il établit sur eux des chefs de milliers et des chefs de centaines.

Il plaça le tiers du peuple sous le commandement de Joab, le tiers sous celui d’Abischaï, fils de Joab, et le tiers sous celui d’Ittaï, de Gath. Et le roi dit au peuple : Moi aussi, je veux sortir avec vous.

Mais le peuple dit : Tu ne sortiras point ! Car si nous prenons la fuite, ce n’est pas sur nous que l’attention se portera ; et quand la moitié d’entre nous succomberait, on n’y ferait pas attention ; mais toi, tu es comme dix mille de nous, et maintenant il vaut mieux que de la ville tu puisses venir ànotre secours.

Le roi leur répondit : Je ferai ce qui vous paraît bon. Et le roi se tint àcôté de la porte, pendant que tout le peuple sortait par centaines et par milliers.

Le roi donna cet ordre àJoab, àAbischaï et àIttaï : Pour l’amour de moi, doucement avec le jeune Absalom ! Et tout le peuple entendit l’ordre du roi àtous les chefs au sujet d’Absalom.

Le peuple sortit dans les champs àla rencontre d’Israë l, et la bataille eut lieu dans la forêt d’Ephraïm.

Là, le peuple d’Israë l fut battu par les serviteurs de David, et il y eut en ce jour une grande défaite de vingt mille hommes.

Le combat s’étendit sur toute la contrée, et la forêt dévora plus de peuple ce jour-làque l’épée n’en dévora.

Absalom se trouva en présence des gens de David. Il était monté sur un mulet. Le mulet pénétra sous les branches entrelacées d’un grand térébinthe, et la tête d’Absalom fut prise au térébinthe ; il demeura suspendu entre le ciel et la terre, et le mulet qui était sous lui passa outre.

Un homme ayant vu cela vint dire àJoab : Voici, j’ai vu Absalom suspendu àun térébinthe.

Et Joab dit àl’homme qui lui apporta cette nouvelle : Tu l’as vu ! Pourquoi donc ne l’as-tu pas abatu sur place ? Je t’aurais donné dix sicles d’argent et une ceinture.

Mais cet homme dit àJoab : Quand je pèserais dans ma main mille sicles d’argent, je ne mettrais pas la main sur le fils du roi ; car nous avons entendu cet ordre que le roi t’a donné, àtoi, àAbischaï et àIttaï : Prenez garde chacun au jeune Absalom !

MEDITONS !

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